Lorsque les mots sont interdits,
Lorsque la parole est rendue muette,
Prendre sur soi,
Ne pas dire,
Subir, souffrir
En silence,
Prendre patience…
Cette violence faite aux femmes
Depuis des millénaires,
Je l’ai vécue dans ma chair,
Et transmutée, transcendée,
Elle est aujourd’hui libérée.
Il est venu le temps du pardon des offenses,
de la bienveillance,
Car c’est le fruit de l’ignorance
De notre vraie puissance.
Pour qu’enfin enfanter
Soit une chance,
Un hymne à l’Amour, à la Joie
D’être et de transmettre
La Vie.